Les compositions probables selon l'Est Républicain:


ASNL : Troyes, c’était top mais trois points, ce serait encore mieux
L’ASNL espère surfer sur son exploit de samedi en Coupe de France, à huit chez la L1 troyenne, pour retrouver le chemin de la victoire en championnat contre Dijon et ainsi limiter la casse avec 15 points à mi-parcours. Ce dernier match de l’année 2021 vaut son pesant d’or.
Dans la foulée de la qualification héroïque obtenue pour les 16es de finale de la Coupe de France, en ayant terminé le match à Troyes à huit samedi, le premier réflexe, pour beaucoup de supporters nancéiens, a été de repenser au succès fondateur de la bande à Pablo Correa, en 2004, déjà contre l’ESTAC , à neuf, dans un stade Marcel-Picot déchaîné. Sauf que ce match inoubliable avait eu lieu en championnat à domicile et que l’ASNL, dans une dynamique déjà positive, jouait la montée en Ligue 1, à l’époque. Le contexte est totalement différent aujourd’hui, bien sûr. En réalité, pour toutes celles et ceux qui connaissent l’histoire de l’ASNL par cœur, l’exploit au stade de l’Aube, samedi, se rapproche sûrement plus de la qualification arrachée aux tirs au but, là aussi, par l’équipe entraînée par Patrick Gabriel le 23 janvier 2013 à Nice, en 16e de finale de la Coupe de France. Pourquoi ? Parce que Nancy, lanterne rouge de L1 larguée au classement après avoir terminé la phase aller avec 11 points, avait abordé ce rendez-vous chez les Niçois sans en attendre grand-chose et qu’elle était repartie de la Côte d’Azur avec un résultat inattendu. De quoi booster sa confiance et créer les conditions d’une folle « remontada » en championnat, terminée à la 18e place. Un tel classement, synonyme de relégation en Ligue 2 en 2013, permettrait cette saison à l’ASNL d’avoir des chances de se sauver via les barrages…
Jouer comme une équipe qui se bat pour sa survie
Trois jours après sa « qualif » à Nice en 2013, la formation au chardon avait joué un match quasiment sans filet contre Lorient à Picot en Ligue 1 et elle s’était imposée 2-1. Un peu comme ce mardi, là encore. Trois jours après la sacrée « perf » au stade de l’Aube en Coupe de France, c’est aussi un match de championnat de la plus haute importance qui attend l’ASNL, face à Dijon. Le match de la dernière chance ? Non, pas à vingt journées de la fin, mais un rendez-vous qui peut changer beaucoup de choses en fonction du résultat. Les Nancéiens devront garder leur esprit de corps, leur détermination dans les duels et leur volonté de ne rien lâcher, autant de valeurs d’un candidat au maintien montrées samedi chez l’ESTAC. La base pour avoir une chance d’atteindre la mi-parcours avec 15 unités. Faites-le avant les fêtes ! Troyes, c’était top. Trois points de plus, ce serait encore mieux.
L’occasion de revenir à cinq points des Dijonnais
Tout autre résultat qu’une victoire rendrait la seconde partie de saison de l’ASNL toujours plus compliquée et périlleuse. Après trois défaites consécutives en championnat (Rodez, Quevilly-Rouen, Nîmes), c’est bien le moment de se remettre à gagner, d’autant qu’il y aura un concurrent direct face aux hommes de Benoît Pedretti. Avec un succès, Nancy reviendrait à cinq longueurs des Dijonnais, actuels 16es du classement, alors que le DFCO avait l’ambition de remonter immédiatement en Ligue 1 cette saison… Dijon qui a également une grosse pression sur les épaules, après son élimination en Coupe de France samedi, à Cannes, pensionnaire de National 3…
Bref, ce dernier match de l’année 2021 s’annonce riche en stress et en émotions. Mais il va falloir s’y habituer pour l’ASNL. Compte tenu du retard au classement, il y aura d’autres rendez-vous à hauts risques en 2022.
L’ASNL espère surfer sur son exploit de samedi en Coupe de France, à huit chez la L1 troyenne, pour retrouver le chemin de la victoire en championnat contre Dijon et ainsi limiter la casse avec 15 points à mi-parcours. Ce dernier match de l’année 2021 vaut son pesant d’or.
Dans la foulée de la qualification héroïque obtenue pour les 16es de finale de la Coupe de France, en ayant terminé le match à Troyes à huit samedi, le premier réflexe, pour beaucoup de supporters nancéiens, a été de repenser au succès fondateur de la bande à Pablo Correa, en 2004, déjà contre l’ESTAC , à neuf, dans un stade Marcel-Picot déchaîné. Sauf que ce match inoubliable avait eu lieu en championnat à domicile et que l’ASNL, dans une dynamique déjà positive, jouait la montée en Ligue 1, à l’époque. Le contexte est totalement différent aujourd’hui, bien sûr. En réalité, pour toutes celles et ceux qui connaissent l’histoire de l’ASNL par cœur, l’exploit au stade de l’Aube, samedi, se rapproche sûrement plus de la qualification arrachée aux tirs au but, là aussi, par l’équipe entraînée par Patrick Gabriel le 23 janvier 2013 à Nice, en 16e de finale de la Coupe de France. Pourquoi ? Parce que Nancy, lanterne rouge de L1 larguée au classement après avoir terminé la phase aller avec 11 points, avait abordé ce rendez-vous chez les Niçois sans en attendre grand-chose et qu’elle était repartie de la Côte d’Azur avec un résultat inattendu. De quoi booster sa confiance et créer les conditions d’une folle « remontada » en championnat, terminée à la 18e place. Un tel classement, synonyme de relégation en Ligue 2 en 2013, permettrait cette saison à l’ASNL d’avoir des chances de se sauver via les barrages…
Jouer comme une équipe qui se bat pour sa survie
Trois jours après sa « qualif » à Nice en 2013, la formation au chardon avait joué un match quasiment sans filet contre Lorient à Picot en Ligue 1 et elle s’était imposée 2-1. Un peu comme ce mardi, là encore. Trois jours après la sacrée « perf » au stade de l’Aube en Coupe de France, c’est aussi un match de championnat de la plus haute importance qui attend l’ASNL, face à Dijon. Le match de la dernière chance ? Non, pas à vingt journées de la fin, mais un rendez-vous qui peut changer beaucoup de choses en fonction du résultat. Les Nancéiens devront garder leur esprit de corps, leur détermination dans les duels et leur volonté de ne rien lâcher, autant de valeurs d’un candidat au maintien montrées samedi chez l’ESTAC. La base pour avoir une chance d’atteindre la mi-parcours avec 15 unités. Faites-le avant les fêtes ! Troyes, c’était top. Trois points de plus, ce serait encore mieux.
L’occasion de revenir à cinq points des Dijonnais
Tout autre résultat qu’une victoire rendrait la seconde partie de saison de l’ASNL toujours plus compliquée et périlleuse. Après trois défaites consécutives en championnat (Rodez, Quevilly-Rouen, Nîmes), c’est bien le moment de se remettre à gagner, d’autant qu’il y aura un concurrent direct face aux hommes de Benoît Pedretti. Avec un succès, Nancy reviendrait à cinq longueurs des Dijonnais, actuels 16es du classement, alors que le DFCO avait l’ambition de remonter immédiatement en Ligue 1 cette saison… Dijon qui a également une grosse pression sur les épaules, après son élimination en Coupe de France samedi, à Cannes, pensionnaire de National 3…
Bref, ce dernier match de l’année 2021 s’annonce riche en stress et en émotions. Mais il va falloir s’y habituer pour l’ASNL. Compte tenu du retard au classement, il y aura d’autres rendez-vous à hauts risques en 2022.
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